Rapport annuel
Les annexes du rapport
Summary
CSA - Conseil supérieur de l'audiovisuel
Rapport annuel 2010

Avant-propos

Les chiffres clés du CSA en 2010

Les chiffres clés de l'audiovisuel

Les dates clés du CSA en 2010

Synthèse

2010, le CSA au cœur des mutations technologiques, économiques, culturelles et sociales du numérique :
bilan et perspectives

Le Conseil

L’activité du Conseil en 2010

I - La gestion des fréquences et des services

II - Les autorisations, conventions et déclarations

III - Le suivi des programmes

IV - Les mises en demeure, les sanctions et les saisines de l’autorité judiciaire

V - L'activité contentieuse

VI - Les avis

VII - Les nominations

VIII - Les études et la prospective ; la communication

IX - Les relations internationales

Les membres du Conseil et leurs domaines d'activité

Les communiqués

Les délibérations

Rapport annuel 2010

III - Le suivi des programmes

1.  Le pluralisme de l'information

Le pluralisme hors périodes électorales

L’EXAMEN DES RELEVÉS DE TEMPS DE PAROLE DES PERSONNALITÉS POLITIQUES

LES SAISINES

Le pluralisme en période électorale

LES CONSULTATIONS DES ÉLECTEURS DE GUYANE ET DE MARTINIQUE (10 ET 24 JANVIER 2010)

L’ÉLECTION DES CONSEILLERS RÉGIONAUX ET DES CONSEILLERS À L’ASSEMBLEE DE CORSE (14 ET 21 MARS 2010)

2.  LA PROMOTION DE LA REPRÉSENTATION DE LA DIVERSITÉ DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE

3.  LA DÉONTOLOGIE DES PROGRAMMES ET DE L’INFORMATION

Réflexion sur la déontologie de l’information : réunions avec les diffuseurs

Les principales interventions sur les programmes de télévision en matière de déontologie des contenus audiovisuels

À la tÉlÉvision

Mauvaise utilisation des images mises en ligne sur internet

Absence de vérification de l’identité des témoins

Absence de maîtrise de l’antenne

Les atteintes aux droits de la personne

Manque de diversité dans l’expression des différents points de vue

L’utilisation des images d’archives

Les atteintes à l’ordre public

La complaisance dans l’évocation de la souffrance humaine

Les atteintes au respect et à la dignité de la personne humaine

La lutte contre les discriminations

L’honnêteté des programmes

Le « droit à l’oubli »

La santé publique

À la radio

Incitation à la violence ou à la haine et maîtrise de l’antenne

Honnêteté de l’information

Éthique dans les programmes radiophoniques du service public

4.  LA PROTECTION DE L’ENFANCE ET DE L’ADOLESCENCE

La campagne télévisée sur la protection du jeune enfant et la diffusion de la campagne de promotion de la signalétique jeunesse

La participation à une campagne sur la protection des mineurs sur internet

Le renouvellement du Comité d’experts du jeune public

Le bilan de l’action du Conseil en matière de protection du jeune public en 2009 et au cours du 1er semestre 2010

La réflexion sur la participation des mineurs aux émissions télévisées

Les principales interventions sur les programmes de télévision en matière de protection des mineurs

LA CLASSIFICATION DES PROGRAMMES ET LA SIGNALÉTIQUE JEUNESSE

RESPECT DES AUTRES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL

Les interventions du Conseil sur les programmes de radio en matière de protection des mineurs

5.  LA DIFFUSION ET LA PRODUCTION D’ŒUVRES AUDIOVISUELLES
ET CINÉMATOGRAPHIQUES

La qualification des œuvres audiovisuelles et cinématographiques

QUALIFICATION EUROPÉENNE DES ŒUVRES CINÉMATOGRAPHIQUES

QUALIFICATION D’EXPRESSION ORIGINALE FRANÇAISE DES ŒUVRES CINÉMATOGRAPHIQUES

La diffusion d’œuvres audiovisuelles et cinématographiques

LES ŒUVRES AUDIOVISUELLES

LES ŒUVRES CINÉMATOGRAPHIQUES

La production

LES ŒUVRES AUDIOVISUELLES

LES ŒUVRES CINÉMATOGRAPHIQUES

6.  LA PUBLICITÉ, LE PARRAINAGE ET LE PLACEMENT DE PRODUIT

La publicité à la télévision

LA DIFFUSION DE MESSAGES PUBLICITAIRES

INTERVENTION DANS LES MESSAGES PUBLICITAIRES

PROMOTION DES PRODUITS RELEVANT DE SECTEURS INTERDITS DE PUBLICITÉ

PUBLICITÉ CLANDESTINE

Le placement de produit

DÉLIBERATION RELATIVE AU PLACEMENT DE PRODUIT DANS LES PROGRAMMES DES SERVICES DE TÉLÉVISION

PREMIÈRE INTERVENTION DU CONSEIL

Le parrainage à la télévision

CARACTÈRE PUBLICITAIRE DU PARRAINAGE

IDENTIFICATION DU PARRAINAGE

PARRAINAGE DE RUBRIQUE

Les communications commerciales en faveur de jeux d’argent et de hasard à la télévision et à la radio

DÉLIBÉRATION RELATIVE AUX CONDITIONS DE DIFFUSION DES COMMUNICATIONS COMMERCIALES EN FAVEUR D’UN OPÉRATEUR DE JEUX D’ARGENT ET DE HASARD LÉGALEMENT AUTORISÉ

INTERVENTIONS EN TÉLÉVISION ET EN RADIO

IMPACTS SUR LE MARCHÉ PUBLICITAIRE

La publicité et le parrainage à la radio

LA PUBLICITÉ DANS LES PROGRAMMES RADIOPHONIQUES DU SERVICE PUBLIC

LA PUBLICITÉ DANS LES PROGRAMMES DES RADIOS PRIVÉES

7.  LA LANGUE FRANÇAISE

8.  L’ACCESSIBILITÉ DES PROGRAMMES AUX PERSONNES HANDICAPÉES

L’accessibilité des programmes télévisés aux personnes sourdes ou malentendantes

LES CHAÎNES HERTZIENNES DONT L’AUDIENCE DÉPASSE 2,5 %

LES CHAÎNES HERTZIENNES DONT L’AUDIENCE EST INFÉRIEURE À 2,5 %

LES CHAÎNES N’UTILISANT PAS DE FRÉQUENCES ASSIGNÉES PAR LE CONSEIL

DES DÉROGATIONS JUSTIFIÉES

L’accessibilité des programmes télévisés pour les personnes aveugles ou malvoyantes

Création d’un site consacré à l’accessibilité des programmes à destination des personnes souffrant de déficit auditif ou visuel

9.  LA DIFFUSION DE LA MUSIQUE À LA RADIO ET À LA TÉLÉVISION

Les quotas de chansons d’expression française

LA TRANSPARENCE DU CONTRÔLE

L’exposition de la musique à la radio et à la télévision

LA PUBLICATION D’UNE ÉTUDE : MÉDIAS AUDIOVISUELS ET MUSIQUE

L’OBSERVATOIRE DE LA DIVERSITÉ MUSICALE À LA RADIO ET À LA TÉLÉVISION

10.  LA SANTÉ PUBLIQUE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

11.  LA RÉGULATION DES SERVICES DE MÉDIAS AUDIOVISUELS À LA DEMANDE (SMAD)

LA DÉLIBÉRATION N° 2010-57 DU 14 DÉCEMBRE 2010 RELATIVE À LA PROTECTION DU JEUNE PUBLIC, À LA DÉONTOLOGIE ET À L’ACCESSIBILITÉ DES PROGRAMMES SUR LES SMAD

LES AUTRES TEXTES RÉGLEMENTAIRES

12 - LA DIFFUSION DE PROGRAMMES EN HAUTE DÉFINITION (HD)

13 - L’ACCÈS DES ASSOCIATIONS AUX MÉDIAS AUDIOVISUELS

 

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10 - LA SANTÉ PUBLIQUE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

La mission Santé et développement durable du Conseil, créée en janvier 2009, a entrepris l’examen et assuré le suivi de plusieurs dossiers en 2010.

Elle s’est assurée de la mise en oeuvre de la charte pour promouvoir une alimentation et une activité physique favorables à la santé dans les programmes et les messages publicitaires diffusés à la télévision, signée le 18 février 2009. Le rapport du Conseil sur un an d’application de cette charte par les médias audiovisuels a été remis à Mme Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé et des sports. Le Conseil y formule plusieurs propositions afin d’accroître l’efficacité du dispositif imaginé en 2009.

La mission a également veillé à la bonne application des dispositifs d’alerte sanitaire prévus à l’article 16-1 de la loi du 30 septembre 1986, en organisant les campagnes audiovisuelles de diffusion des messages d’alerte sanitaire contre le virus H1N1, puis contre l’épidémie de dengue aux Antilles françaises.

Issu des travaux de la mission, le rapport établissant le bilan du respect de la délibération du Conseil du 17 juin 2008 relative à l’exposition du tabac, des boissons alcooliques et des drogues illicites à l’antenne des services de radiodiffusion et de télévision a été adressé par le Conseil à la ministre de la santé et des sports, ainsi qu’au président de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT).

Par ailleurs, la mission a poursuivi ses travaux - dans le cadre du groupe Projet interne composé de collaborateurs du Conseil appartenant notamment à la direction administrative et financière – relatifs aux mesures envisageables en matière de développement durable au nom de l’exemplarité de l’État voulue par les travaux du « Grenelle de l’environnement ». Comme l’année précédente, ce groupe a dressé un bilan des principaux postes de dépenses énergétiques du Conseil.

Enfin, dans le cadre des travaux du groupe de réflexion du ministère de l’agriculture, de l’alimentation et de la pêche sur l’avenir de l’agriculture en Europe, la mission a établi un premier état de l’offre de programmes relatifs à l’agriculture sur les antennes des radiodiffuseurs et dans les programmes des chaînes de télévision hertziennes afin de réfléchir à l’amélioration et à la valorisation de l’image de l’agriculture dans les médias.

 

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11 - LA RÉGULATION DES SERVICES DE MÉDIAS AUDIOVISUELS
À LA DEMANDE (SMAD)

La loi du 5 mars 2009 relative à la communication audiovisuelle et au nouveau service public de la télévision transposant la directive Services de médias audiovisuels du 11 décembre 2007 (1) a introduit dans la loi du 30 septembre 1986 une nouvelle catégorie de services relevant de la compétence du Conseil : les services de médias audiovisuels à la demande (SMAD). En pratique, cette catégorie est constituée de services de vidéo à la demande, dont des services de télévision de rattrapage qui permettent de regarder des programmes diffusés sur les services de télévision linéaires.
 

(1) Ce texte est maintenant intégré au sein de la version consolidée de la directive 2010/13/UE du 10 mars 2010.

LA DÉLIBÉRATION N° 2010-57 DU 14 DÉCEMBRE 2010 RELATIVE À LA PROTECTION DU JEUNE PUBLIC, À LA DÉONTOLOGIE ET À L’ACCESSIBILITÉ DES PROGRAMMES SUR LES SMAD

L’article 15 de la loi du 30 septembre 1986 confie au Conseil, dans le cadre de sa mission de protection de l’enfance et de l’adolescence, le soin de veiller à la mise en oeuvre de tout moyen adapté à la nature des SMAD afin de protéger les mineurs contre les contenus susceptibles de nuire à leur épanouissement physique, mental ou moral.

La délibération du Conseil, adoptée par l’assemblée plénière le 14 décembre 2010, a été précédée de deux consultations publiques : l’une en 2009 sur les grandes orientations à retenir pour la rédaction d’un projet, et la seconde en juin 2010 sur un projet de délibération.

La délibération fixe les règles applicables à l’ensemble des éditeurs et distributeurs de SMAD établis en France selon les critères établis par la loi.

En matière de déontologie, le texte rappelle les grands principes applicables aux services de télévision et de radio, notamment le respect de l’ordre public et de la dignité de la personne humaine, ainsi que l’interdiction de l’incitation à la haine ou à la violence. Les règles relatives à l’honnêteté des programmes et au respect des droits de la personne sont également applicables aux SMAD. Le Conseil recommande également le développement, sur les SMAD, de l’accessibilité des programmes aux personnes souffrant de handicap visuel ou auditif.

En matière de protection de l’enfance et de l’adolescence, le texte établit que le système de la classification des programmes et la signalétique sont identiques à ceux applicables sur les services de télévision (tous publics, -10 ans, -12 ans, -16 ans, -18 ans). Les contraintes horaires de diffusion se limitent aux programmes « déconseillés aux moins de 16 ans » mis à disposition gratuitement et aux programmes « déconseillés aux moins de 18 ans » accessibles par abonnement. Il peut être dérogé à cette dernière restriction horaire si l’abonné atteste de sa majorité par une pièce d’identité.

La délibération demande la mise en oeuvre de deux espaces physiques : d’une part, un espace réservé uniquement aux programmes déconseillés ou interdits aux mineurs de 18 ans et à leurs bandes-annonces verrouillé par un code spécifique ; d’autre part, afin de permettre l’accès des familles et du jeune public aux contenus qui leur sont destinés, un « espace de confiance » contenant uniquement des programmes « tous publics ».

Tous les professionnels concernés par le développement des SMAD sont incités à mettre en commun leurs données sur la classification des programmes et à promouvoir les dispositifs de contrôle d’accès.

La mise en oeuvre des obligations est prévue en trois étapes : les règles relatives à la déontologie sont applicables dès le 1er janvier 2011 ; les mesures relatives aux programmes « -18 ans » et aux contraintes horaires applicables aux programmes « -16 ans » gratuits s’appliquent à partir du 1er septembre 2011 et les mesures sur les pictogrammes de la signalétique jeunesse entrent en vigueur le 1er janvier 2012.

Le Conseil établira un bilan de l’application du dispositif entre juillet 2012 et janvier 2013, notamment au regard des mesures de protection des jeunes publics sur les différents médias, y compris sur internet.

LES AUTRES TEXTES RÉGLEMENTAIRES

Le Conseil a par ailleurs été sollicité par le Gouvernement pour rendre son avis sur deux projets de décret affectant le régime applicable aux SMAD (voir chap. VI).

 

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12 - LA DIFFUSION DE PROGRAMMES EN HAUTE DÉFINITION (HD)

Le 6 mai 2008, le Conseil a délivré aux chaînes TF1 HD et M6 HD, présélectionnées dans le cadre de l’appel à candidatures du 12 juin 2007, une autorisation de diffusion en haute définition pour une durée de dix ans. À l’issue de l’appel à candidatures lancé le 29 janvier 2008 pour la diffusion d’une chaîne payante en haute définition, le Conseil a délivré, le 22 juillet, une autorisation à la chaîne Canal+ HD. Dans ce cadre, le Conseil a signé avec TF1, M6 et Canal+ des avenants à leurs conventions prévoyant des engagements en matière de diffusion et de production de programmes en haute définition. À la suite de la réservation, par le Gouvernement, de deux canaux pour la diffusion des chaînes France 2 et Arte en haute définition, le Conseil a également délivré aux sociétés éditrices les autorisations correspondantes.

Après le lancement de Canal+ HD le 8 août 2008, et celui de TF1 HD et de M6 HD le 30 octobre 2008, des réunions entre les services du Conseil et les représentants des trois chaînes ont été organisées afin d’évoquer le développement technique de la diffusion HD, les éventuelles difficultés rencontrées en la matière, ainsi que le suivi des obligations de diffusion des programmes HD. En 2008, les trois diffuseurs privés se sont notamment engagés à ce qu’un quart de leurs programmes diffusés entre 16 heures et minuit le soit en HD native (programmes produits en HD).

En 2010, ces engagements étaient renforcés et les trois éditeurs les ont bien respectés. Les données constatées pour 2010 sont les suivantes, en moyenne annuelle :

TF1

75,1 %

Canal+
(tranche hors plages en clair)

75,0 %
14h-24h

M6

67,0 %

 

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13 - L’ACCÈS DES ASSOCIATIONS AUX MÉDIAS AUDIOVISUELS

Lors de la deuxième Conférence de la vie associative qui s’est tenue le 17 décembre 2009, le président du Conseil supérieur de l’audiovisuel, M. Michel Boyon, s’était prononcé en faveur de la construction d’un véritable partenariat entre l’audiovisuel et les associations. Il avait souligné que le Conseil devait notamment faciliter les liens entre les médias audiovisuels et les associations, et renforcer l’exposition de celles-ci.

À la suite de cette conférence, le Premier ministre, M. François Fillon, a chargé le Conseil de créer une commission de réflexion sur l’accès des associations aux médias audiovisuels.

Celle-ci a été installée le 24 juin 2010 par le président du CSA, en présence de M. Marc-Philippe Daubresse, alors ministre de la jeunesse et des solidarités actives, et des deux conseillers qui ont coprésidé cette commission, Mme Michèle Reiser et M. Emmanuel Gabla.

Après avoir entendu les attentes concernant l’accès des associations aux médias audiovisuels et examiné l’état des lieux de la place occupée par les associations dans l’ensemble des programmes, y compris les journaux télévisés pour l’année 2009 des services de télévision hertziens, la commission a défini trois principes essentiels : l’équité, la clarté et la promotion de l’engagement citoyen.

Ces trois principes ont servi de fil conducteur à la commission pour élaborer ses propositions qui ont été transmises au Premier ministre :

Proposition 1. Consacrer un temps d’antenne plus important aux acteurs de la vie associative et favoriser la parole des associations dans le débat public.

Proposition 2. Identifier clairement à l’antenne l’objet de l’appel aux dons et rendre compte à l’antenne de l’utilisation de l’argent recueilli.

Proposition 3. Diversifier les causes présentées dans les émissions d’appel aux dons et veiller à une information sur la variété des associations oeuvrant pour une même cause.

Proposition 4. Désigner un référent-associations dans chaque média audiovisuel et le faire connaître.

Proposition 5. Demander à chaque média audiovisuel de définir et de rendre publics ses critères d’éligibilité des associations souhaitant être présentes sur son antenne et inciter les médias à s’appuyer sur les dispositifs de contrôle des associations existants.

Proposition 6. Inciter le secteur associatif à améliorer le recensement des associations grâce à des portails informant les médias audiovisuels et le public des choix possibles pour les différentes causes.

Proposition 7. Inviter les associations à respecter dans leur communication les règles de la déontologie audiovisuelle.

Proposition 8. Recommander aux associations nationales une plus grande collaboration avec les médias audiovisuels locaux.

Proposition 9. Mettre fin à des pratiques singulières consistant à vendre de l’espace publicitaire en échange de reportages.

Proposition 10. Créer un groupe de réflexion permanent afin de renforcer la place de la vie associative dans les médias audiovisuels.

 

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